• Annick nous écrit ...

    Annick nous écrit ...

     

     

     

     

     

     

    Je vous écris de là où mes errances non programmées ont porté non pas mes pas mais les roues de mon équipage. Heureusement le ciel me guidait comme l’ange gardien se penchant au soir du jour sur le bambin endormi. Le pouce encore dans la bouche, la respiration ralentie, celui-ci serre encore l’ours en peluche, compagnon indispensable pour sombrer dans le labyrinthe du sommeil. Ne pourrait-on pas garder au fil de sa vie cette innocence, cet abandon qui vous emmène joyeux au pays des rêves merveilleux ? A la lumière du photophore dans l’obscurité de la chambre je m’attendris devant l’enfant qui dort. Guetter le mouvement des paupières, imaginer le vagabondage des images amoncelées au fil de la journée et se rappeler le poème de Victor Hugo : Lorsque l’enfant paraît …

     

    Annick C.


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