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  • Expo Martin Jarrie


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  • Julos Beaucarne, né le 27 juin 1936 à Écaussinnes (Belgique) et mort le 18 septembre 2021, est un artiste (conteur, poète, comédien, écrivain, chanteur, sculpteur) belge, chantant en français et en wallon. Il vivait à Tourinnes-la-Grosse en Brabant wallon (Belgique).

     

    "La mort fait voyager son monde
    Tu vas plus vite que le son
    T'es partout sur la terre ronde
    T'es devenu une chanson"

     

     


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  • À partir du 7 juillet nous vous présenterons des poèmes sur l'amour et l'amitié. Ces deux sentiments utilisent le verbe AIMER. Nous essaierons de conjuguer ce verbe poétiquement pendant plusieurs semaines.

    Nouveau thème : AIMER

    « Qui aime a toujours quelque chose à dire ou à écrire jusqu'à la fin des temps. »

    Christian Bobin


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  • Une série autour de l'été

    Les "images" de Eugène Guillevic m'ont conduit en été...

    Voici donc dans les jours qui viennent une série de poème autour de l'été


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  • Ce soir c'est l'automne dans ta tête
    Et t'iras pas faire la fête
    Sur la piste
    Le mot d'excuse inventé
    Tu restes seul à écouter
    Des chansons tristes
    Pour chasser ta mélancolie,
    Y a des notes d'espoir dans ton lit
    Dans la voix du chanteur qui gronde
    Toi tu cherches ta place dans ce monde
    Ta place dans ce monde

    Tu dis qu'on vit une drôle d'époque
    Et combien prennent des médocs
    Pour s'endormir
    Tu sais qu'ailleurs il pleut des bombes

    Qu'il en faudra des colombes
    Pour s'en sortir
    Toujours allongé dans ton plume,
    Tu presses le bouton du volume
    Pour que les émotions t'inondent
    Et tu cherches ta place dans ce monde
    Ta place dans ce monde

    Tu rêves d'un grand amour à vivre
    Pourquoi pas écrire un livre
    Et voyager
    Jamais faire partie du troupeau
    Et puis planter le drapeau
    De la liberté
    Entre tous ceux qui réussissent
    Et sur les réseaux le brandissent
    Tu doutes de toi à chaque seconde
    Mais tu as ta place dans ce monde

    Ta place dans ce monde

    Comme toi, pendant que danse la ville
    J'me demande si je suis pile
    A la bonne place
    Au fond, j'crois qu'on des millions
    A se poser la question
    Devant la glace
    Sur le parking des gens heureux
    Il faut parfois tourner un peu
    Pour trouver une place dans la ronde
    Et pourvu qu'elle te corresponde…
    Ta place dans ce monde
    Ta place dans ce monde qui gronde
    Ta place dans ce monde


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  • Le "gueuloir" de Flaubert

     

    "Je ne sais qu’une phrase est bonne qu’après l’avoir fait passer par mon gueuloir", confiait Gustave Flaubert. Moquée, cette technique de lecture à (très) haute voix permettait à l'écrivain de satisfaire son exigence stylistique.

    "Il est 1 h. du matin. Je ne sais pas comment je n’ai pas la poitrine défoncée, depuis 4 h. que je hurle sans interruption." Ce message n'est pas celui d'un chanteur qui occupe ses nuits à répéter son grand concert, mais celui d'un écrivain : Gustave Flaubert. Celui dont on fête le bicentenaire de la naissance n'a jamais dissimulé la difficulté qu'il avait à écrire. Ses correspondances avec ses amis poètes en témoignent :  

    « Ça ne va pas. Ça ne marche pas. Je suis plus lassé que si je roulais des montagnes. J'ai dans des moments, envie de pleurer. Il faut une volonté surhumaine pour écrire. Et je ne suis qu'un homme. (...) Vingt pages en un mois, et en travaillant chaque jour au moins 7 heures ! - Et la fin de tout cela ? Le résultat ? Des amertumes, des humiliations internes, rien pour se soutenir que la férocité d'une Fantaisie indomptable »

    Gustave Flaubert à Colet Louise, Croisset, 3 avril 1852. Lettre n° 418   


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