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    À bas les murs rouge sang couverts de barbelés à la frontière mexicaine

     

    À bas les murs de haine et de mépris qui se dressent dans tes yeux quand tu parles d’étrangers

     

    À bas les murs qui partagent la cour de l’école entre petits et grands

     

    À bas les murs que l’on érige autour de ces nouvelles maisons pour créer un lotissement sécurisé

     

    À bas les murs administratifs qu’on impose à toute personne en demande d’asile

     

    Odile A.


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  • Frontières ?

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  • Russel Banks

    L’auteur de Continents à la dérive et Pourfendeur de nuages (entre autres) est « décédé paisiblement chez lui, dans le nord de l’État de New York », a annoncé l’écrivaine Joyce Carol Oates dimanche matin. « L’ensemble de son œuvre était exceptionnelle ».

    Romancier, nouvelliste et poète, Russell Banks aimait raconter les difficultés de la classe ouvrière à travers des personnages qui luttent contre la pauvreté, la toxicomanie, les problèmes de classe et de race. L’auteur a remporté le prix John-Dos-Passos en 1995 et de nombreuses autres récompenses. Deux de ses œuvres ont aussi fait l’objet de films largement salués par la critique.


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  • Les voeux de Jacques Brel


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  • Une interview d'Annie Ernaux en 1974, après la parution de son livre "Les armoires vides". Cela dure une dizaine de minutes mais cela en vaut la peine.

    L’annonce de son prix Nobel a suscité (chez certains journalistes) un déluge de critiques classistes et sexistes.  Or dès 1993, Annie Ernaux avait eu l'occasion de répondre ceci : "Qu'on s'étonne qu'un livre évoque le monde ordinaire en dit long sur la conception élitiste de la littérature en France. [...] Pour moi, il n'y a pas "d'objet" littéraire, et tout peut être littérature."


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  • Ma carcasse

     

     

     

     

    Ma carcasse me joue des tours...
    Elle grince elle, craque, elle gémit, elle croasse ...
    comme un vautour en mal d'amour...

    Ma carcasse et moi , on se connait depuis toujours...
    Entre nous, c'est plus vraiment le Grand Amour,
    désormais je ferai avec....jusqu'à la fin de mes jours.

    Ma carcasse y-a 60 ans, elle aimait marcher, courir, bouger
    valser et même twister comme à St Tropez.
    Maintenant, pour faire trois pas, c'est tout un cinéma.

    Ma carcasse elle aimerait
    profiter de la mer, de la plage, des galets, mais...
    faut pas rêver, tout ça c'est du passé....

    Ma carcasse me joue toujours des tours....
    elle se déglingue, devient foldingue...
    entre elle et moi, c'est la cata...

    Plus rien ne va, je baisse les bras...
    Mais mais...malgré tout ce branle-bas de combat,
    je t'aime encore ma vieille carcasse, prends soin de toi.

    Michelle. L
    (Un jour où le moral n'allait pas)


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    Il était une fois...

    sur un arbre perché
    un grand aigle tout noir
    qui voulait être aimé.

    Sous le chêne, abritée....
    une Belle aux longs cheveux bouclés
    pleurait, comme une Madeleine, son Amour envolé.

    La belle était jeunette,
    fraiche comme une fleur des prés
    mais elle ne croyait pas ce que disent les Grands.

    Le grand aigle tout noir,
    sur son arbre perché....
    couinait, bavait, pissait...comme un vieux salopard qui voudrait bien baiser....

    Soudain la Belle, aux longs cheveux bouclés,
    sentit sur son visage, le souffle du danger,
    sur son corps les griffes d'un pervers détraqué.

    Alors, elle se mit, a hurler, à taper, à griffer ....
    Puis dans un grand bruissement d'ailes, le vieil aigle tout noir
    tenta de s'envoler .....avant d'être lynché....

    Moralité : Petites filles, méfiez vous des oiseaux noirs, qui guettent pour mieux vous harceler.

    Michelle L


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