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Rêveries orientales
Chemin de lumière vers
le cercle de lueurs vacillantes.
Chaleur et terrasses sous le ciel étoilé,
partage et amitié au son du oud,
mur qui s'écroule.
Cicatrices dans la terre qui se referment,
oliviers et vignes en terrasses au soleil,
thé à la menthe et discussions sans fin,
la pleine lune orange se lève
sur la muraille de Jérusalem.
Ma tête et mes espoirs sont là-bas,
bercés par cette musique qui me transporte.
Enfin le quotidien devient apaisé,
sans entrave, sans contraintes,
sans crainte.
Fini les barrières et le barbelé,
fini les miradors et les contrôles.
Enfin tu respires, tu circules,
Enfin tu vaques, tu rêves,
Enfin tu souffles,
Enfin tu es LIBRE .
C. P. (écrit lors de la dernière nuit de l'écriture)
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